Christophe Fauquenoy,ami d’Israël, égorgé dans son hall d’immeuble à Villeneuve-d’Ascq .Un musulman mis en examen du chef de meurtre

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Christophe Fauquenoy,ami d’Israël, égorgé dans son hall d’immeuble à Villeneuve-d’Ascq .Un musulman mis en examen du chef de meurtre

Ce mercredi, le parquet nous a informés qu’un homme, âgé d’une trentaine d’années, a été mis en examen du chef de meurtre en mai dernier, il est depuis placé en détention provisoire. Mais l’enquête se poursuit…
En effet, depuis le drame, les riverains de la rue des Vétérans se posent beaucoup de questions. Notamment sur les raisons pour lesquelles Christophe Fauquenoy aurait pu être mortellement frappé de plusieurs coups de couteau. La thèse d’un règlement de compte lié à un trafic de stupéfiants a vite été écartée par les services de la police judiciaire qui mène l’enquête depuis le début.
D’autres pistes peuvent être envisagées. Celle, peu probable, d’une querelle de voisinage ou, plus sombre, celle d’un meurtre à connotation politique. Christophe Fauquenoy était très actif sur les réseaux sociaux dans la défense d’Israël. Et il était attaqué régulièrement par des internautes antisionistes ou antisémites. S’agirait-il donc d’un crime haineux ? L’enquête, qui se poursuit, apportera sans doute des réponses.
Source :
https://www.lavoixdunord.fr/1066776/article/2021-09-08/un-homme-mis-en-examen-pour-le-meurtre-du-villeneuvois-christophe-fauquenoy

Cet après-midi-là, il est environ 15 heures quand Christophe Fauquenoy arrive chez lui. L’ouvrier en a plein les bottes. Toute la matinée, il a trimé sur un chantier de construction, et il ne rêve que de son canapé ! Christophe traverse le hall de son immeuble, appelle l’ascenseur. La cabine arrive. Mais au moment où il ouvre la porte, il recule d’un pas, littéralement asphyxié par un nuage de cannabis ! A l’intérieur, trois ou quatre jeunes le regardent d’un air narquois, un joint aux lèvres. Manifestement, les lascars considèrent que l’ascenseur leur appartient. Christophe n’insiste pas. Il se dirige vers l’escalier. Après tout, il n’a que trois étages à monter. Mais il en a gros sur le cœur, comme à chaque fois qu’il est obligé de céder ¬devant les petites frappes qui font la loi dans la cité.

Rendre service aux autres, leur être agréable, apporter un rayon de soleil dans leur vie souvent difficile, c’est comme une vocation pour Christophe, un homme carré au visage bienveillant. Il y met autant de gentillesse que de discrétion. Tous les deux ou trois jours, il appelle ses parents, qui vivent à Saint-Amand-les-Eaux, à une quarantaine de kilomètres, pour prendre de leurs nouvelles.
Christophe, en homme pacifique, est traumatisé par la sauvagerie du règlement de comptes.
— Je n’en peux plus, confie-t-il à Claudie. Je ne rêve que d’une chose : une petite maison dans un endroit calme.
Mais pour ça, encore faudrait-il qu’il ait l’argent pour ¬déménager… Or il est complètement fauché. Si bien que chaque matin, à 5 heures, il continue de se lever pour aller trimer sur les chantiers. Et chaque début d’après-midi, en rentrant chez lui, il baisse les yeux en croisant les dealers. Le pauvre homme ignore qu’il ne réalisera jamais son rêve de vie nouvelle. Mardi 30 mars 2021. Il n’est pas loin de 6 heures quand un habitant du 25, sorti faire sa prière matinale, découvre le corps de Christophe. Le malheureux gît dans le hall de l’immeuble, baignant dans une mare de sang… Il a été frappé de plusieurs coups de couteau, dont un lui a tranché la carotide. Cette fois, les policiers se déplacent. Le quartier est bouclé, les habitants interrogés.
— Vers 5 h 30, j’ai été réveillé par des hurlements, témoigne un voisin. Puis j’ai entendu une voiture démarrer sur les chapeaux de roues, en faisant crisser ses pneus…
5 h 30, précisément l’heure à laquelle Christophe part travailler. Qui le guettait au pied de l’escalier ? Pourquoi l’a-t-on égorgé, sans lui laisser la moindre chance ? Le mode opératoire, une fois encore, fait penser à un règlement¬ de comptes, mais ce genre de choses, dans le quartier, ne se produit qu’entre dealers. Or tous ceux qui connaissaient Christophe sont formels : jamais il n’avait touché à la drogue, qu’il détestait, et jamais il n’aurait frayé avec des tra-fiquants, qu’il considérait comme la lie de la société. C’était en outre un homme discret, prudent, auquel on ne connaissait aucun ennemi¬. Y a-t-il eu erreur sur la personne¬ ? A-t-il été tué à la place d’un autre ? Est-il tombé sur une scène qu’il n’aurait pas dû voir ?
A l’heure où nous mettions sous presse, les policiers de la PJ de Lille n’avaient toujours pas la réponse. Rien d’étonnant dans ce quartier où les dealers font régner la loi du silence, par la terreur s’il le faut… Mais ce mystère rend la situation encore plus angoissante pour les centaines d’habitants pris en otage par la racaille. Tous se demandent désormais, la peur au ventre : à qui le tour ?
Source
https://www.lenouveaudetective.com/enquetes/divers/les-dealers-lui-ont-fait-la-peau?fbclid=IwAR0VlTueqFptK8vRSF1OGvaSr5GhDQwL-z3I0lv4OQl-bh3WkiNtpU5bZ8w

Qui a entendu parler de Christophe Fauquenoy ? Emmanuel Macron n’en a, en tout cas, pas parlé. Il était pourtant, ce 19 avril, en képi dans les rues de Montpellier pour défendre son bilan en matière de « sécurité » et sa vision de la « vie paisible ». Une habitude du déguisement prise de longue date – bientôt reformera-t-il les Village People, ne manque que l’indien -, qui ne masquera pas les errements coupables du gouvernement en la matière. Inutile d’ailleurs de revenir sur toutes les déclarations contradictoires, les annonces sous forme de pétards mouillés et les chiffres : nous savons tout ce qu’il faut savoir depuis déjà bien trop longtemps.
En revanche, ce que nous ne savons pas, c’est qui était Christophe Fauquenoy, comment il a vécu et pourquoi il est mort. De George Floyd, l’Américain, nous avons eu droit au CV complet et à l’indignation mondiale, jusqu’aux émeutes. Mais Christophe Fauquenoy, qui s’en soucie ? Habitant de Villeneuve-d’Ascq, Christophe Fauquenoy est mort égorgé dans son hall d’immeuble, après avoir reçu huit coups de couteaux, ainsi que l’a révélé l’autopsie. L’affaire n’a été évoquée que dans la presse quotidienne régionale, en l’occurrence La Voix du Nord. Aucun média national n’a daigné accorder un entrefilet à cette victime de l’insécurité ; la vraie, celle qui laisse des innocents sur le carreau, gisant anonymement dans des mares de sang au petit matin.
Quel fut le tort de Christophe Fauquenoy ? S’opposer aux dealers, aux voyous qui pourrissent la vie de tous les Français, tout particulièrement dans ces quartiers de l’immigration où vivent encore quelques pauvres âmes abandonnées des pouvoirs publics, obligées de tenter de faire un peu régner l’ordre par elles-mêmes, au péril de leurs vies. Une riveraine interrogée par La Voix du Nord a témoigné de l’ambiance chaotique, proche d’une favela brésilienne, qui règne rue des Vétérans à Villeneuve-d’Ascq, témoignant d’ « un climat d’insécurité grandissant dans ce quartier, qui ne date pas d’hier. La situation devient insupportable. Il y a du grand deal, du petit deal, du trafic dans les couloirs. Christophe ne supportait plus ce que l’on vit ici tous les jours. »
Pris dans un règlement de comptes entre trafiquants : mort pour rien, mort parce que l’Etat a renoncé. Les témoignages de voisins choqués se sont multipliés dans l’indifférence générale. Pas assez vendeur Christophe Fauquenoy, un profil trop commun. Pour bénéficier du statut de la victime et émouvoir, il faut présenter quelques traits de personnalité distinctifs, une originalité. Christophe Fauquenoy n’était qu’un homme blanc de plus de quarante ans, du genre à devoir se battre la coulpe ad vitam aeternam en pensant à tout le mal que lui et les siens ont fait subir à tous ces jeunes en déshérence obligés de vendre des sachets de cocaïne pour vivre.
Le drame de Christophe Fauquenoy, c’est le drame du quotidien. Une ligne statistique en plus. Un nom dont on ne se souviendra plus, dont on n’a même pas envie de se souvenir. Ce n’est pas un drame qui donne matière à des films ou à des prises de position du président de la République ; il préfère envoyer un tweet pour du chahut estudiantin au Conseil Régional d’Occitanie. Ne parlons pas trop de Christophe Fauquenoy, ce serait dévoiler ce qu’il se passe vraiment dans ces quartiers où la « mixité » n’existe plus, en dépit des dizaines de nationalités qui s’y côtoient. Ce serait avouer que les politiques de la ville, d’immigration, d’éducation et de sécurité, ont été des échecs sur toute la ligne.
Christophe Fauquenoy est un martyr. Le martyr d’une France qui a renoncé à défendre sa population.
Source https://www.causeur.fr/christophe-fauquenoy-martyr-neglige-196239

Source article : http://www.liguedefensejuive.com/christophe-fauquenoyami-disrael-egorge-dans-son-hall-dimmeuble-a-villeneuve-dascq-un-musulman-mis-en-examen-du-chef-de-meurtre-2021-09-09.html

 

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