

Pour la première fois dans l’histoire de la Fatwa, le Hamas accusé de « palestiniser » Gaza, et de semer la terreur, selon trois éminents juristes musulmans

PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 11 MARS 2023
C’est une Fatwa sans précédent, prise par un groupe représentant les trois branches de l’islam, les chiites, les sunnites et les soufis : « le Hamas est illégitime, selon la loi islamique ».
La Fatwa ordonne aux croyants : « Il est interdit de prier pour le Hamas, de le rejoindre, le soutenir, le financer, ou de se battre au côté du Hamas – une entité qui adhère à l’idéologie des Frères musulmans.» La Fatwa, émise par trois éminents juristes musulmans vénérés dans l’ensemble du monde musulman, le grand ayatollah Fadhil al-Budairi, le cheikh Abdallah al-Dheeban, grand mufti sunnite du gouvernorat de Wasit, et le pakistanais Syed Mudassir Nazar Shah, du Conseil international soufi, ajoute que « le Hamas porte la responsabilité de son règne de corruption et de terreur à l’encontre des civils palestiniens à Gaza »,
Le groupe de religieux musulmans de haut rang a émis jeudi cette fatwa sans précédent dans l’islam, déclarant le Hamas « illégitime » selon la loi islamique.
Le Conseil islamique international pour la fatwa et l’orientation, un organisme interconfessionnel basé à Nadjaf, a cité des clips audio et vidéo intitulés « Washes from Gaza » contenant des témoignages d’Arabes résidant dans la bande de Gaza, et a déclenché l’enquête qui a abouti à l’émission de la fatwa.
Le porte-parole du conseil, le cheikh Muhammad Ali al-Maqdisi, a déclaré dans un enregistrement publié sur le site web du conseil :
« Nous avons vu la situation à laquelle Gaza est exposée sous le règne du Hamas et les atrocités qu’il commet contre les Arabes sans défense. Nous avons vu que c’est un devoir légitime de soutenir les opprimés, l’une des règles de notre religion dit : « Soyez un opposant à l’oppresseur et aidez l’opprimé ». De ce point de vue, cette fatwa a été émise contre le Hamas.
Dans une déclaration vidéo diffusée jeudi, le grand ayatollah Fadhil al-Budairi, chef du Conseil islamique international pour la fatwa et l’orientation, a déclaré que le soutien aux Palestiniens devait aller au-delà du rejet des actions d’Israël et a ajouté :
« Nous n’acceptons aucune offense au peuple palestinien, ni du côté israélien, ni du côté arabe, je veux dire de la part de l’influent au pouvoir, qu’il s’agisse de l’organisation du Hamas ou non ».
- M. al-Budairi est un religieux chiite et le directeur d’une école religieuse à Nadjaf. Il est également un éminent critique de l’Iran et du Hezbollah.
- Le Conseil islamique international pour la fatwa et l’orientation comprend également le cheikh mufti Abdullah Al-Dhubyan, qui représente les sunnites et la communauté de la province irakienne de Wasit,
- son homologue Syed Mudassir Nizar Shah, gardien d’un sanctuaire soufi dans la province pakistanaise du Punjab et directeur d’un centre de recherche à Islamabad, selon le site web du Conseil.
Une délégation du Conseil dirigée par M. al-Budairi s’est rendue en janvier au siège de la Ligue musulmane mondiale saoudienne à La Mecque et a rencontré son secrétaire général, le cheikh Dr Muhammad Al-Issa. Cette rencontre a été suivie d’un communiqué de presse dans lequel les deux parties discutent des moyens de former « l’unité islamique face aux divisions sectaires croissantes dans le monde islamique », ainsi que des « moyens de coopération ».
Comme l’a expliqué à Lubbs Ghaith al-Omari, chercheur principal à l’Institut de Washington pour la politique du Proche-Orient, la fatwa contre le Hamas « représente un défi direct à la légitimité du Hamas et sape sa prétention à représenter l’islam. Cela n’affectera peut-être pas directement son pouvoir à Gaza, puisqu’il le maintient par la force, mais à long terme ».
Treize chefs d’accusation ont été retenus contre le Hamas – notamment « extorsion et fraude », « vol de l’aide internationale », « utilisation d’enfants comme soldats » et « accusation fausse d’Arabes de trahison »
À terme, cette fatwa représente un défi majeur pour le discours du Hamas.
Le cheikh al-Maqdisi, porte-parole officiel du conseil, a expliqué que la fatwa avait été émise en réponse aux réactions populaires suscitées par la publication d’une série de vidéos intitulée « Washes from Gaza » en janvier. Il s’agit d’une série de 25 vidéos basées sur les témoignages de résidents actuels de la bande de Gaza, dont le contenu a été diffusé en sept langues dans le monde entier.
Les vidéos ont été vues par tous ceux qui, dans le monde, suivent la question arabe. Elles montrent un certain nombre d’habitants de Gaza – des femmes, des enfants et des hommes – évoquant ce à quoi ils sont exposés en raison de la corruption du Hamas. Ils ont témoigné devant le monde entier qu’ils sont victimes de chantage et d’intimidation. Les plaintes concernant les actions du Hamas à l’encontre du peuple palestinien pauvre et sans défense se sont multipliées. Cela a donné la motivation et pour publier la fatwa soutenant les innocents et les pauvres de Gaza.
Un membre de l’unité de recherche du Conseil de la Fatwa a contacté les producteurs de « Washouts from Gaza » pour leur demander de confirmer l’authenticité des vidéos. En organisant une présentation privée des séquences originales, les chercheurs, avec un grand nombre de partenaires médiatiques, ont validé leur authenticité.
Les vidéos font partie d’une vaste collection de sources incluses dans la fatwa qui accompagne le document de la fatwa, qui évalue les revendications de légitimité du Hamas en termes de normes de la loi islamique concernant la « corruption », les « conflits et la guerre », et les « droits de l’homme et la dignité ».
Treize chefs d’accusations, dont l’utilisation d’enfants soldats
Parmi les treize chefs d’accusation retenus contre le Hamas, on trouve notamment « extorsion et fraude », « vol de l’aide internationale », « utilisation d’enfants comme soldats » et « fausses accusations de trahison ».
Bien que d’autres groupes islamistes armés, dont Al-Qaïda, ISIS et Boko Haram, aient déjà été déclarés hors-la-loi par le biais de fatwas, c’est la première fois que le Hamas subit d’un tel traitement de la part d’un organe juridique islamique approuvé. La fatwa indique qu’elle est d’accord avec les décisions précédentes émises par le Conseil des hauts savants d’Arabie saoudite et l’Autorité de la fatwa des Émirats arabes unis qui classent les Frères musulmans, auxquels appartient le Hamas, comme « déformant l’islam et agissant de manière contraire à l’unité et à la jurisprudence islamiques ». Les mêmes Frères musulmans qui ont pignon sur rue en France et son accueillis par le gouvernement français.
Malgré les centaines de millions d’aide internationale, les perspectives d’emploi sont extrêmement limitées, et 65 % de la population vit sous le seuil de pauvreté – mais les dirigeants du Hamas ont de très belles propriétés en bordure de mer. Quant aux libertés individuelles, elles sont réduites à néant.
Arrivé au pouvoir dans l’enclave palestinienne en 2007, le Hamas a commencer par jeter ses opposants du Fatah du haut des immeubles, et depuis, il se maintient grâce à un climat de peur que dénoncent les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Source : https://fatwacouncil.org/2023/03/09/hamasfatwa/
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Lettre ouverte du Centre Wiesenthal à France 24[ins]: ‘‘Nous sommes choqués par l’antisémitisme dont font preuve les correspondants de votre chaîne arabe.’’ – Centre Simon Wiesenthal | CSW Europe
Paris, le 7 mars 2023
Dans une lettre ouverte adressée à la directrice de France 24, Vanessa Burggraf, Shimon Samuels, le directeur des Relations internationales du Centre Wiesenthal, lui faisait part d’un rapport de l’organisme de surveillance des médias CAMERA1 sur les correspondants de France 24 Arabic au Moyen-Orient.
Voir (en anglais) : https://www.camera.org/article/the-antisemitic-social-media-divas-of-france24-arabic/
Après avoir documenté à plusieurs reprises la terminologie biaisée utilisée par certains correspondants de France 24 couvrant les relations israélo-arabes, CAMERA visait à découvrir leurs propos sur les réseaux sociaux au cours de la dernière décennie. Ainsi, leur rapport révélait des cas d’admiration ouverte pour Hitler, de banalisation de l’Holocauste, de glorification des terroristes et de justification de la violence contre les Juifs. En voici quelques citations :
Joëlle Maroun, correspondante libanaise de France 24 :
« Levez-vous, monsieur Hitler, levez-vous, il y a des personnes qui doivent être brûlées. »
« Si seulement Hitler était libanais… Il aurait dû être cloné en cette période de crise. »
« C’est à chaque Palestinien de tuer un Juif ,et l’affaire est close. »
« Je te hais, toi, Juif. »
Parlant d’une proposition de paix américaine, elle déplorait « la tyrannie du Juif et sa saleté ». Elle faisait également l’éloge du « martyr » Samir Quntar, un terroriste du Hezbollah responsable, entre autres, de l’enlèvement et du meurtre sauvage d’une fillette juive de 4 ans.
Laila Odeh, correspondante à Jérusalem de France 24 :
Elle glorifie constamment les terroristes, banalisant le sort des victimes ciblées, comme par exemple :
« Mort d’un colon dans une opération d’attaque au couteau… perpétrée par un Palestinien qui a été élevé au rang de martyr après avoir été abattu. »
« Martyre de sept Palestiniens à Gaza… mort d’un colon israélien à Ashkelon. »
De même, se référant au terroriste du Hamas-JIP (Jihad islamique palestinien) Muhammad Asi, qui a fait exploser un bus de Tel-Aviv en novembre 2012, elle a déclaré qu’il « est monté au plus haut des cieux ».
Exemples de sa vision déformée de l’Histoire :
« Le Royaume-Uni ne présentera jamais ses excuses en raison du fait que le Juif pour qui Balfour avait ressenti de la peine à cause de l’Holocauste n’est pas le Juif qui a colonisé les terres de la Palestine historique du nord au sud, sans que personne ne soit assez fort pour l’en faire sortir. »
« Israël déverse le complexe de son Holocauste sur les Palestiniens, il méprise Hitler tout en étant devenu une version de lui. »
Ces correspondants sont rejoints par Dina Abi Saab qui, à Genève, crache constamment la même haine et célèbre les roquettes du Hamas sur Israël, et Sharif Bibi, au Liban, qui est cité : « … nous t’éradiquerons, Israël, de tes racines mêmes. »
CAMERA déplore que « ces journalistes aient constamment fait preuve de haine et d’ignorance et ce, pendant plusieurs années, alors même que leurs obligations professionnelles les appelaient à couvrir des faits concernant Israël et les Juifs ».
Le Centre Wiesenthal rappelle qu’une histoire longue et compliquée d’antisémitisme rampant affecte les médias français, depuis l’article publié en 1886 dans Le Figaro qui a lancé le best-seller La France juive d’Édouard Drumont – réédité quelque deux cents fois pendant l’affaire Dreyfus. En tant qu’instrument de l’extrême droite fanatique, ce pamphlet est redevenu à la mode en 1938 et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il a ensuite été publié par des médias antisémites en 1986 et, plus récemment, en 2012, par l’ami de Dieudonné, Alain Soral, qui vomit régulièrement des stéréotypes haineux contre les Juifs.
Au cours des années 1930, l’hebdomadaire Je suis partout a été le porte-parole du nationalisme conservateur. Son succès est allé grandissant en tant que journal collaborationniste et antisémite « officiel » pendant l’Occupation, jusqu’en 1944. Il n’est pas étonnant que le même titre ait été régurgité dans une scandaleuse chape d’antisémitisme, sur un site rapidement censuré à la suite de la protestation de notre Centre, en 2021.
Voir : https://wiesenthal-europe.com/fr/news-releases-menu/42-communiques-de-presse-2021/838-dernieres-nouvelles-trois-heures-apres-notre-revelation-du-site-antisemite-je-suis-partout-il-a-ete-supprime
En France, bien que la haine ouverte des Juifs soit mal vue et parfois sanctionnée, il n’est pas rare de voir dans les médias des reportages biaisés sur Israël, considérés même par certains comme une forme d’apaisement envers une minorité musulmane censée être vendue à la cause palestinienne.
Il y a eu récemment des cas de haine sournoise ciblant des Juifs. Le Monde, par exemple, s’est interrogé sur la double allégeance, l’« absence de manières » et les « outrances » de Meyer Habib, parlementaire franco-israélien.
Voir : https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/02/14/meyer-habib-le-depute-qui-en-faisait-trop_6161726_823448.html
Les médias franco-arabes affichent généralement des stéréotypes antisémites, en particulier dans les pays qui, depuis les soixante-quinze dernières années, ont mené des conflits contre Israël… La plupart des journalistes arabes ont été élevés au sein d’élites nationalistes où le Mein Kampf d’Hitler ou Les Protocoles des Sages de Sion sont des best-sellers. Notre Centre, qui surveille chaque année les salons du livre, le dévoile.
Voir le dernier en date : L’antisémitisme devient viral à la Foire internationale du livre du Caire – Centre Simon Wiesenthal | CSW Europe (wiesenthal-europe.com)
« Bien qu’il ne soit pas surprenant que les correspondants arabophones de France 24 ne soient pas objectifs lorsqu’ils couvrent Israël, il est de la responsabilité de l’entreprise audiovisuelle de contrôler les reportages de leurs collaborateurs – ainsi que leur empreinte sur les réseaux sociaux – afin d’éviter d’être associée à des flambées évidentes de haine des Juifs, d’appels à la violence, de glorification du nazisme ou du terrorisme…
« Nous vous prions instamment, Madame Burggraf, en tant que directrice de la chaîne France 24, de prendre les mesures qui s’imposent. Nous portons également cette situation à l’attention de France Médias Monde et du Conseil supérieur de l’audiovisuel », concluait Shimon Samuels.
(1) CAMERA : Committee For Accuracy In Middle East Reporting And Analysis (https://www.camera.org/).
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Committee_for_Accuracy_in_Middle_East_Reporting_in_America
* * *
Pour plus d’informations, contactez Shimon Samuels à [email protected]
Florence Bergeaud-Blackler: « L’UE finance des associations islamistes à hauteur de dizaines de millions d’euros »
Florence Bergeaud-Blackler: « L’UE finance des associations islamistes à hauteur de dizaines de millions d’euros »
GRAND ENTRETIEN – C’est une enquête qui fera référence et que nos dirigeants politiques devraient lire avec attention. Le Frérisme et ses réseaux de Florence Bergeaud-Blackler est une somme impressionnante dans laquelle l’anthropologue au CNRS décrypte le fonctionnement du mouvement islamiste des Frères musulmans.
La chercheuse explore ses racines historiques et ses fondements doctrinaux, mais surtout met en lumière la manière dont il s’est internationalisé, faisant de l’Europe sa terre d’élection. Préférant la duplicité à la confrontation, davantage stratèges que théologiens, les Frères ont su étendre leur emprise sur les institutions européennes par le biais d’une myriade d’associations « antiracistes » et par la subversion des « droits de l’homme ».
LE FIGARO. – Dans quel contexte historique et politique, la confrérie des Frères musulmans est-elle née ?
Florence BERGEAUD-BLACKLER. – On le sait peu mais, dans le monde musulman, la chute du califat ottoman en 1924 s’est accompagnée presque immédiatement d’une ferveur sans précédent pour la réunification de l’umma (la nation…
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Procès du militant d’extrême droite Yvan Benedetti
Communiqué de presse.
Saint Mandé, le 2 mars 2023.
L’Observatoire Juif de France, représenté par son président, a porté plainte contre Yvan Benedetti, militant d’extrême droite, pour la publication d’un article haineux et diffamatoire intitulé “Israël, terre d’asile de la grande Arnaque” sur le site Jeune Nation dont il est le directeur de publication.
L’audience devant la 17ème chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de PARIS s’est tenue le 14 décembre 2022.
Le délibéré a été rendu le 27 février 2023.
Aux termes de celui-ci, l’Observatoire a été déclaré recevable en tant que partie civile.
Yvan Benedetti a été reconnu coupable d’injure publique et de provocation à la discrimination, à la haine et à la violence, et a été condamné à une amende de 2000€.
Monsieur Goumain a été reconnu coupable de complicité d’injure publique et de provocation à la discrimination, à la haine et à la violence, et a été condamné à une amende de 3 000€ dont 200€ avec sursis.
Yvan Benedetti et Monsieur Goumain ont été condamnés solidairement à verser 2 000€ à l’Observatoire, en vertu de l’article 475-1 du code de procédure pénale.
Cependant, aucun dommage et intérêt n’a été alloué à la partie civile, malgré la gravité des propos tenus dans l’article
L’Observatoire Juif de France déplore le laxisme de la Justice dans le cadre de cette affaire, d’autant qu’Yvan BENEDETTI est un multi récidiviste, coutumier du fait.
Il est à déplorer le manque de considération pour les associations parties civiles, qui luttent contre ce type d’agissements et sont déterminées à faire cesser ce type d’incitation à la haine raciale proférée par des individus qui sont renforcés par de telles décisions dans leur conviction de bénéficier d’une quasi impunité.
Il est important de rappeler que Yvan Benedetti sollicite régulièrement des dons auprès de sa communauté sur son canal Telegram et est donc solvable.
L’Observatoire Juif de France continue de lutter contre toutes les formes d’antisémitisme et d’incitation à la haine, et reste mobilisé pour que la justice fasse respecter les lois et les valeurs républicaines.
L’Observatoire Juif de France va très probablement faire appel de cette décision, d’autant plus qu’il est également partie civile dans d’autres affaires impliquant ce même individu.
Observatoire Juif de France

« @ErsiliaSoudais est une fausse pompière mais vraie pyromane de l’antisémitisme… »
Le 24 février 2023, Saint Mandé – Observatoire Juif de France
Nous, Observatoire Juif de France, dénonçons fermement les propos tenus par Ersilia Soudais, députée de la« France insoumise », qui a demandé l’arrêt de leur droit à la sécurité sociale, aux citoyens français vivant dans les implantations en Cisjordanie ou Judée Samarie en contravention au droit français et européen.
Cette demande ignominieuse, est d’autant plus scandaleuse qu’elle voudrait priver de leurs droits les plus élémentaires des citoyens français vivant en ISRAEL, la Judée Samarie faisant partie intégrante d’ISRAEL.
La France, terre des droits de l’Homme, accueille des réfugiés du monde entier, qui dès leur arrivée sur le sol français, bénéficient des prestations sociales par le biais de la complémentaire santé solidaire (CSS – Ex CMU)
Madame Soudais n’a rien à envier à ses prédécesseurs, qui sous le régime de VICHY avaient voté les lois scélérates, qui avaient privé les citoyens français de confession juive de leurs droits les plus élémentaires.
Jusqu’à preuve du contraire, tout citoyen français ne peut se voir refuser cette protection sociale.
Madame Soudais voudrait t’elle peut être imposer l’Etoile Jaune aux citoyens français d’ISRAEL ?
Il est on ne peut plus préoccupant que Mme Ersilia Soudais occupe la fonction de vice-présidente de la commission contre la haine antisémite, alors qu’elle ne manque pas une occasion de manifester son antisémitisme viscérale, sous couvert d’antisionisme.
En tant que fervente partisane du BDS et du groupe EURO PALESTINE, ce mélange des genres est particulièrement choquant.
Cela nous rappelle la république islamique d’IRAN siégeant à la commission des droits de l’homme de l’ONU !
Nous appelons à la vigilance de tous les acteurs politiques pour ne pas laisser ces opinions extrémistes nuire à la lutte contre l’antisémitisme en France.
Nous exhortons le gouvernement français à condamner fermement ces propos et à protéger les droits des citoyens français vivant en Israël. Nous appelons également les représentants politiques de tous bords à prendre position contre cette proposition discriminatoire et dangereuse.
Nous resterons vigilants pour que les droits de tous les citoyens français, sans distinction de race ou de religion, soient respectés et protégés en France.
Secrétariat Observatoire Juif de France.
https://observatoirejuifdefrance.fr/
Observatoire Juif de France | 20, rue du Commandant Mouchotte 94160 Saint Mandé | E-mail: [email protected] |
@ErsiliaSoudais est une fausse pompière mais vraie pyromane de l'antisémitisme.
— Yonathan Arfi (@Yonathan_Arfi) February 22, 2023
Fausse pompière car sa fonction dans le groupe d'étude antisémitisme est une imposture.
Vraie pyromane car son clientélisme allume le feu de l'antisionisme et des parallèles indécents avec la Shoah. pic.twitter.com/ZA6tbbIqNP
Cliquez sur les images pour voir l’intégralité des Tweets
Les services de sécurité jordaniens ont profané les tefillin du grand rabbin de Dubaï
Aucun organe de la presse nationale ne révèle cette grave intolérance
probablement car il s’agit d’un Rabbin Israélien

Des agents de sécurité ont coupé les lanières de cuir des tefillin du rabbin, arguant qu’il pourrait les utiliser pour étrangler des passagers
Alors qu’il tentait d’embarquer sur un vol de correspondance pour Abu Dhabi, des agents de sécurité de l’aéroport international Queen Alia d’Amman, en Jordanie, ont coupé les lanières de cuir des tefillin (phylactères – lanières et boitiers de cuir que les hommes juifs portent au bras et à la tête pour la prière quotidienne du matin) du grand rabbin de Dubaï, Moshe Haliwa, arguant qu’il pourrait les utiliser pour étrangler des passagers, rapporte le site d’informations israélien Ynet. Malgré les protestations et les tentatives d’explication du rabbin de la nature sacrée des tefillin, les agents de sécurité jordaniens ont coupé les lanières devant lui.
“J’ai pleuré et expliqué que c’était sacré, et que c’était sans danger. Ils ont soutenu que je pourrais m’en servir pour étrangler quelqu’un”, déplore Moshe Haliwa. “Je leur ai dit que des Juifs transitent chaque jour par des aéroports du monde entier sans jamais étrangler personne, rien n’y a fait”, poursuit-il.
“Ils m’ont dit que si je continuais à insister, ils allaient appeler la police. J’ai dû me résoudre à les laisser couper les lanières pour que je puisse garder les boitiers”, ajoute-t-il. “L’incident m’a paru très antisémite”, assure-t-il.
En 2015, une famille juive s’était vu refuser l’entrée sur le territoire jordanien à cause de leurs kippot (pluriel de kippa en hébreu). En 2017, 20 juifs ultra-orthodoxes avaient été retenus dans un hôtel de Petra, leurs objets de culte confisqués par les autorités. En 2019, une délégation de maires adjoints israéliens avait été fouillée, les agents jordaniens étant à la recherche de kippot, et les femmes orthodoxes avaient été contraintes de retirer leurs couvre-chefs. En juillet dernier, des étudiants de yeshiva (académie d’enseignement religieux), avaient été forcés d’enlever leurs kippot.
La communauté juive des EAU inaugure la synagogue Moses Ben Maimon – JForum
La communauté juive des EAU inaugure la synagogue Moses Ben Maimon
Abu Dhabi – Debout majestueusement à côté d’une mosquée et d’une église de dimensions extérieures égales, avec des extérieurs communs en pierre blanche et des styles architecturaux arqués, mais chacun avec sa propre touche unique et ses symboles religieux respectifs, la synagogue Moses Ben Maimon dans la capitale des Émirats arabes unis a été officiellement ouverte à la communauté juive locale dimanche. Jeudi soir, la plus grande maison de la famille abrahamique, dont fait partie la synagogue Moses Ben Maimon, a été inaugurée.
« C’était vraiment une fête de famille », a déclaré le rabbin David Rosen, directeur international des affaires interreligieuses de l’American Jewish Committee et ancien grand rabbin d’Irlande, après son retour en Israël d’Abu Dhabi dimanche soir. « Joyeux et assez chaotique. »
Rosen, qui a également assisté au lancement et au forum d’ouverture du complexe Abrahamic Family House jeudi et vendredi, a déclaré à Jewish Insider que dimanche était « le jour où la communauté juive des Émirats a célébré la première synagogue juive à être construite aux Émirats arabes unis. ”
L’événement, auquel ont assisté environ 325 invités célébrant l’occasion marquante avec de la musique live et de la nourriture, comprenait pour la première fois l’introduction d’un rouleau de la Torah dans la synagogue et l’apposition d’une mezouza sur un montant de porte. Dimanche a également marqué le premier service de prière tenu dans la synagogue alors que la prière de l’après-midi de Minha était récitée. Des activités pour les enfants destinées aux jeunes membres de la communauté étaient proposées dans la résidence rabbinique du rabbin Ben de Toledo et de la rabbanit Yael de Toledo – le jeune couple qui a déménagé à Abu Dhabi depuis Jérusalem pour aider à diriger les services à la synagogue. Après le rassemblement principal, il y avait aussi un upsherin intime – une tradition rituelle de coupe de cheveux courante dans certaines communautés juives – pour un garçon de trois ans de l’île de Saadiyat, marquant une autre première de nombreuses célébrations sur le site.
Les mots « incroyable » et « historique » ont résonné dans toute la synagogue, tandis que des membres de longue date de la communauté juive des Émirats arabes unis se sont souvenus du chemin parcouru, l’un d’eux racontant à JI comment elle avait l’habitude d’apporter deux valises de l’étranger pour accueillir Shabbat. dans le pays.
À l’avant de la synagogue – saluée comme la « première synagogue construite à cet effet » à ouvrir ses portes dans le Golfe en près de 100 ans – les Dix Commandements sont écrits en lettres hébraïques claires et sombres sur les murs de pierre frais, et deux menorahs en or debout de chaque côté de l’arche de bois. Des couches de lignes géométriques entrecroisées s’élèvent jusqu’à 30 mètres jusqu’au toit, permettant à la lumière de filtrer et donnant une ressemblance avec une soucca et une houpas de mariage.
Le rabbin Yehuda Sarna, le grand rabbin de la synagogue Moses Ben Maimon, a ouvert l’événement et le chantre Alex Peterfreund a conduit les fidèles à travers une série de versets. Sarna a ensuite invité le rabbin Levi Duchman, le premier rabbin résident des Émirats arabes unis et chef du Chabad aux Émirats arabes unis, à réciter une prière juive en hébreu pour les dirigeants et le gouvernement des Émirats arabes unis. La même prière a également été prononcée en arabe par le rabbin Yosef Hamdi, le chef de la petite communauté juive yéménite d’Abu Dhabi qui a été secourue il y a deux ans par le gouvernement émirati. Plus tard, le fils de Hamdi, âgé de 13 ans, a lui-même chanté une prière, remplissant la synagogue de voix arabes yéménites émouvantes. « Aujourd’hui, c’est quelque chose de spécial », a déclaré Hamdi à Jewish Insider . « Pour tout le peuple d’Israël. »
Une salve d’applaudissements chaleureux a été donnée à l’architecte ghanéen-britannique de la Maison de la famille abrahamique, le lauréat Sir David Adjaye, qui était assis dans la congrégation avec sa famille.
La foule représentait un microcosme de la société multiculturelle des Émirats arabes unis, un pays de plus de 200 nationalités vivant dans la nation du Golfe, selon les statistiques gouvernementales.
« D’une manière ou d’une autre, nous sommes tous dans une sorte de voyage abrahamique », a déclaré à la congrégation Sarna, qui a été une force motrice dans l’évolution de la communauté juive aux Émirats arabes unis.

« Nous avons tous répondu à une sorte d’appel nous amenant ici aux EAU. Pour chacun de nous, notre voyage peut avoir commencé à un point d’origine différent. Participent aujourd’hui à la cérémonie des Juifs d’Iran, du Yémen, d’Europe, de Russie, d’Ukraine, du Royaume-Uni et des deux Amériques. Certains d’entre nous sont ici depuis des décennies et d’autres viennent d’arriver », a-t-il poursuivi.
« Notre expérience du voyage a été différente. Certaines personnes ont organisé des pratiques juives avec des amis et de la famille chez elles, d’autres ont aidé à se réunir dans des hôtels », a déclaré Sarna, reflétant un fil conducteur entendu parmi les fidèles à propos d’avoir déjà organisé des services de prière chez eux. « Nous avons réussi à créer des points de convergence significatifs dans des espaces temporaires.
« Mais maintenant, nous avons une synagogue, la première synagogue construite à cet effet dans la région depuis près d’un siècle. Nos voyages se croisent tous ici », a déclaré Sarna. « C’est le point où nous pouvons rassembler les étincelles de lumière, où nous pouvons tisser différents fils ensemble. Dans la langue hébraïque, le plus petit mot, la plus petite unité de sens a deux lettres. Une lettre seule n’a aucun sens. Chaque personne ici est une lettre dans l’histoire de notre communauté. Cet espace nous a réunis pour joindre personne à personne, lettre à lettre et voyage à voyage.“
Pour les résidents juifs de longue date de la nation du Golfe, les festivités du dimanche ont été pendant de nombreuses années un événement insondable.
Ross Kriel, président du Conseil juif des Émirats, a déclaré à JI que la première synagogue des Émirats arabes unis se trouvait chez lui, lorsqu’il a quitté l’Afrique du Sud pour Dubaï il y a 10 ans. « Nous sommes donc passés de mon salon à ici en 10 ans environ, c’est incroyable. »
« Et maintenant, regardez cette structure extraordinaire. C’est évidemment un monument à la tolérance mais c’est une vision de notre avenir. Le peuple juif doit complètement repenser notre place dans la région », a affirmé Kriel. « Nous devons être optimistes quant à notre avenir et nous devons penser à notre avenir, nous devons le planifier, nous devons l’imaginer. Theodor Herzl, il savait ce qui allait arriver – il a vu l’avenir », a déclaré Kriel à propos du père du sionisme moderne. « Nous devons également voir un avenir et être optimistes à ce sujet. »
« Tous ceux qui vivent aux Émirats arabes unis sont merveilleusement optimistes quant à la possibilité pour les juifs, les musulmans, les chrétiens et les gens de se réunir avec une vision commune, pas seulement les enfants d’Abraham mais nous tous, avec le sentiment que notre connexion à Dieu nous apporte plus proches les uns des autres, que la religion est une source de points communs et d’humanité plutôt que de conflit et que nous devons avoir un véritable optimisme profond à propos de l’humanité plutôt que d’être négatifs et cyniques », a poursuivi Kriel. « Et cela vient d’ici et cela est mené d’ici, et nous voulons transmettre cela au peuple juif et dans le monde. C’est donc ce que nous allons faire à partir d’ici.
Shaikha Almazrouei, une musulmane originaire des Émirats arabes unis et chercheuse sur les cellules souches, a déclaré que la Maison de la famille abrahamique offre aux différentes communautés du pays un lieu d’échange de pensées. « Il y a beaucoup de similitudes entre les juifs et les musulmans, et c’est vraiment bien, [que nous] nous fassions aussi beaucoup d’amis. Je suis vraiment content que nous ayons ouvert la porte l’un à l’autre.
Yaara Segal, qui était jusqu’à récemment chef de cabinet à l’ambassade d’Israël à Abu Dhabi, est retournée dans le pays pour assister à l’événement de dimanche. Segal a déclaré que l’émotion ressentie par la communauté juive des Émirats arabes unis à chaque moment historique qu’elle vit est toujours vivement ressentie. « Nous ne pouvons pas tenir ces choses pour acquises et, heureusement, nous ne l’avons pas été. C’est inspirant et nous sommes tellement reconnaissants et reconnaissants de cette nouvelle réalité qui grandit et grandit aux Émirats arabes unis, et nous la ressentons dans toute la région », a-t-elle déclaré à JI.
Limor Seal, un expatrié britannique et membre de la communauté juive d’Abu Dhabi, a décrit le complexe interconfessionnel comme « un témoignage de ce qu’est l’EAU. Et le fait qu’ils aient un ministère de la Tolérance ici – cela parle de lui-même », a-t-elle déclaré. Seal a noté qu’elle se sentait à l’aise d’inscrire sa jeune fille comme juive sur son certificat de naissance aux Émirats arabes unis, mais qu’elle ne l’aurait pas fait au Royaume-Uni.
« Ils devraient le faire en Europe », a déclaré Pierre-Alain Avoyer, un catholique suisse italien qui vit à Abu Dhabi depuis 13 ans, à propos de l’initiative Abrahamic Family House. « C’est effrayant ce qui se passe là-bas. C’est tellement laïc qu’ils veulent faire disparaître la religion. C’est une laïcité agressive.
Avoyer a décrit la Maison de la famille abrahamique comme un « outil de sensibilisation » et un important centre d’éducation pour les enfants – « plus qu’un lieu de culte – c’est ainsi que je le vois », a-t-il déclaré.
« J’ai été accueilli par la communauté juive – et je le dis très sincèrement – d’une manière qui m’a surpris », a déclaré Avoyer, ayant d’abord été initié à la religion par sa femme juive.
Le révérend Johnny Moore, président du Congrès des dirigeants chrétiens, s’est rendu par avion pour l’inauguration de la Maison de la famille abrahamique depuis Washington, DC, après avoir passé plusieurs années à voyager au Moyen-Orient pour favoriser les relations entre juifs, musulmans et chrétiens. Faisant référence à la fusillade de deux individus juifs ces derniers jours devant une synagogue de Los Angeles, Moore a déclaré : « Et nous voici aux Émirats arabes unis, des gens se promènent avec des kippas et cette synagogue est aussi bondée que n’importe quelle synagogue que j’ai visitée dans ma vie . vie entière. Les gens prient pour Israël et prient et bénissent les EAU, c’est extraordinaire et c’est de l’histoire. Je ne pouvais pas manquer.“
À juste titre, le service s’est terminé par une interprétation de la prière juive pour la paix, Oseh Shalom , résonnant à travers les poutres de la structure instantanément emblématique.
source : jewishinsider.com – Par Tamara Zieve
L’équipe Du Barça Affiche Son Soutien Indéfectible À Israël – I24NEWS
L’équipe du Barça affiche un soutien indéfectible envers Israël

Le président Joan Laporta a souligné son engagement à faire perdurer les liens de son équipe avec Israël
Dans un geste fort de soutien envers Israël, Le FC Barcelone a invité les représentants de l’ambassade israélienne en Espagne à assister au match de football qui l’opposait jeudi soir au Manchester United, dans le cadre de la Ligue Europa.
Lors d’une cérémonie organisée avant le match, le président Joan Laporta a souligné les “excellentes relations du club espagnol avec l’Etat d’Israël et son peuple”, et son engagement “à faire perdurer ces liens”, avant de remettre aux Israéliens des maillots aux couleurs de son équipe. En signe de remerciement, les diplomates israéliens ont offert à Laporta un drapeau israélien ainsi qu’un bouclier symbole de Jérusalem, saluant les “années de soutien, d’amitié et d’activités communes avec Israël, et la construction d’un pont entre les nations par le sport”.
Cette invitation intervient alors que la maire de Barcelone Ada Colau avait provoqué un tollé en déclarant le 8 février qu’elle souhaitait rompre le jumelage de sa ville avec Tel Aviv, en raison de “la politique d’apartheid envers les Palestiniens”

Après cette décision, le conseil municipal de Barcelone était monté au créneau en procédant à un vote symbolique contre cette initiative de la maire de gauche, déclarant qu’il était “honteux que la maire utilise Barcelone pour servir son idéologie, et qu’elle mette ainsi à mal l’image de la ville.” Le candidat de l’opposition à la mairie de Barcelone Daniel Sirera, avait quant à lui accusé Ada Colau de “semer la haine contre Israël.”
Une vague de protestations traverse non seulement Barcelone mais l’Espagne toute entière depuis cette annonce, où on accuse notamment Ada Colau d’antisémitisme, accusations auxquelles celle-ci avait tenté de parer en assurant à Benjamin Netanyahou que “Barcelone est fière de son héritage juif et de sa communauté juive. En tant que maire, je me tiendrai toujours aux côtés ce cette communauté pour m’opposer à toute manifestation d’antisémitisme”. Dans ce contexte, la municipalité de Madrid a proposé de remplacer Barcelone en tant que ville jumelle espagnole de Tel Aviv.
«Menacée» par l’Iran, Radio J réclame une protection | Le Figaro
La station, mais aussi Anne Hidalgo, Charlie Hebdo et Bernard-Henri Lévy sont la cible de sanctions.
«Depuis trois jours, j’ai une équipe qui me demande pourquoi nous n’avons pas de policiers en bas, et je ne sais pas quoi leur répondre.» Depuis qu’il a appris «par hasard» que la station communautaire juive qu’il dirige, Radio J, figure sur la dernière liste en date des personnes et entités sanctionnées par l’Iran, Emmanuel Rials se dit «inquiet». Mercredi, le ministère iranien des Affaires étrangères a en effet publié une liste d’une quarantaine de personnalités et entités accusées de «soutenir le terrorisme et les groupes terroristes», d’«inciter et encourager des actes de violence contre le peuple iranien», de «s’ingérer dans les affaires intérieures de l’Iran», de «promouvoir la violence et les troubles en Iran» et de «répandre des mensonges et diffuser de fausses informations sur l’Iran».
Parmi les concernés, côté français, Radio J donc, mais aussi la maire de Paris, Anne Hidalgo, le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein, l’écrivain-philosophe Bernard-Henri Lévy…